(1ra-231va)
PETRUS COMESTOR
,
Historia scolastica
« Incipit prologus apistolaris
epistolaris
. Reverendo patri et domino Willelmo dei gratia senonensi
archiepiscopo petrus servus christi presbyter trecensis vitam
bonam
...—... gladio enim perimebantur nobiles et in loco magis
honorabiliori scilicet in cathacumbis.
(titre final) Explicit liber Historiarum. Hinc laus et gloria autori
omnium creaturarum cur sapiens non est misericors
etc.. Finis
.» Le vrai titre de l'ouvrage est Historia
scholastica, dont l'auteur est Pierre de Troyes, surnommé le
Mangeur (Comestor ou Manducator).
Cote : Contregarde sup. et inf.
Parchemin
· Cahiers : 13VI155 + V165 + 5VI225 + 2II231
· Signatures : Signatures modernes de cahier en chiffres arabes (mine de
plomb ?) sur 1er f. de chaque cahier dans marge sup. de 1 à 21
· Foliotation : Moderne en chiffres arabes, dans l'angle extérieur de la
marge sup. Entre les ff. 134 et 135, un feuillet n’a pas été
noté et le numéro 135bis a été ajouté au crayon.
· Réglure : Mine de plomb
· Justification : 200 x 143 mm
· Écriture : Textualis libraria
· Ecriture de petit module, présence de "s" longs en fin de
mots.
· Signes marginaux :
Deux phases d’annotation marginale : 1) en littera
textualis (à peu près contemporaine ?) à l’encre noir 2) en
cursiva , plus tardive ?, à l’encre brun (cf. p.ex. ff. 7v-9r. f.
58r, f. 92r, f. 99r, ff. 110v-111r, 117rv, 124r etc.) f. 1r Petri
trecensis Hist Ecclesiastica (XVIIIe s.)
Décoration : Initiales filigranées
à l’encre rouge et bleu, antennes qui se prolongent dans le marge.
Lettres de couleur en bleu et rouge, filigranées.
(1r-231v)Titres des livres en
lettres capitale à l’encre bleu et rouge au centre de la marge
supérieure de chaque feuillets, souvent
rognés.Pieds de mouche
à l’encre bleu et rouge.
Reliure :
Reliure en veau brun moucheté, epidermée. Dos de 5 nerfs decoré
avec des ferrets dorés. Titre doré «PETRI TRI HIST ECCL» . Etiquette XXe siècle collée au dos, traces de l'etiquette du
XVIIIe siècle. Deux feuillets de papier blanc aux gardes
(AB-CD). Un feuillet de parchemin plus ancien (fin XIe siècle)
a servi de renfort pour le contreplat sup. (voir : )